• L'agence américaine du médicament (Food and Drug Administration) a ouvert une enquête sur les cas de certains utilisateurs du Viagra devenus aveugles pour déterminer si leur cécité avait été provoquée par le médicament traitant les troubles de l'érection. Ces cas sont rares, l'étude est encore en cours et rien ne prouve pour l'instant que le Viagra soit responsable de leur cécité, a déclaré Susan Cruzan, porte-parole de la FDA. La FDA a reçu 50 signalements d'hommes devenus aveugles après avoir pris la fameuse pilule bleue.

    Ces hommes sont atteints d'une neuropathie optique, une pathologie qui peut survenir chez des patients souffrant de diabète ou de maladie cardiaque. Le diabète et les affections cardiaques peuvent rendre impuissants et pousser les hommes concernés à prendre du Viagra. Plus de 23 millions d'hommes à travers le monde ont consommé ce médicament contre les troubles de l'érection. «Nous prenons cela au sérieux», a déclaré Susan Cruzan. D'après Pfizer, le laboratoire qui fabrique la pilule bleue, «les effets secondaires les plus fréquents du Viagra sont les maux de tête, les rougissements et les maux de ventre. Plus rarement une vision floue ou bleuâtre ou une hypersensibilité à la lumière peuvent se produire pendant un court moment».

    Ces indications étaient disponibles sur le site Internet du laboratoire avant même l'ouverture de l'enquête. C'est la chaîne de télévision américaine CBS qui, la première, a signalé des cas de cécité parmi les utilisateurs. Le Viagra a reçu l'approbation des autorités sanitaires américaines en 1998. Les hommes malades du coeur à qui leur médecin a déconseillé d'avoir des rapports sexuels ne doivent pas en consommer. Ceux qui prennent des médicaments contenant des nitrates non plus car ils risquent une baisse soudaine de tension.

    Tout ça m'inspire une Enooooooorme envie de me marrer !!!!! Décidément ça commence par la kekette et ça finit avec une canne blanche , pas d'pot kékéme !!!!


    19 commentaires
  •  

    Une fois n'est pas coutume votre zizi, adorré par les uns et detesté par les autres, vous offre un récit des temps modernes.
    En ces temps de branlette constitutionnellement européenne, il est bon de nous souvenir que nous ne sommes jamais seuls dans notre misère et que ceux qui vous apportent de nouvelles sensations ne le font pas nécéssairement pour votre bonheur...

    Qui a dit "vive le progrès" (gros con va !)? Certainement un membre de feu le cartel de Medelis ou Medeline, à  moins que ce soit Médicis, je sais plus, quand j'fume de la skunk j'ai la citrouille qui s'évapore (à  la bonne vot m'sieurs dames !!!)...

     Il était une fois, dans le ghetto, trois p'tits mectons qui adoraient se défoncer la cheutron.

    Le premier s'appelait Snif-Snif et habitait dans une cabane en paille.
    "Hey, c'est pour mieux sniffer mon petit..."

    Le deuxième s'appelait Glou-glou et vivait dans un tonneau en bois.
    "Hey, c'est pour mieux cuver mon petit..."

    Et le troisième s'appelait Taf-taf et créchait dans un shilom en cuivre.
    "Hey, c'est pour mieux planer mon petit..."

    Ils avaient une relation commune en la personne redoutée et respectée de Jean-Loup le cahid qui les avait vus grandir et qui leur avait appris à s'amuser avec ces jeux-là.

    Les années passèrent, les trois petits mectons avaient pris des voies différentes.

    Glou-glou était devenu fabriquant de gnôle de contrebande et distillait lui-même ses alcools chez lui.

    Taf-taf ; lui, avait acheté plusieurs sortes de graines d'herbes différentes et des lampes halogènes, qu'il avait achetées à Gazeuse Land. "Hey, il se faisait pousser de la skunk, mes p'ti gars !"

    Snif-snif, lui, était devenu héroïnomane. Il était accro et criblé de dettes.

    Quant à Jean-Loup le cahid, celui-là, voyant l'attrait de l'argent facile de la drogue, était devenu dealer.

    Jean-Loup le cahid partit chez Snif-snif qui lui devait pas mal de tunes de crédit de came, armé d'un jerrican d'essence dans une main et d'un briquet zippo dans l'autre.

    Ce jour-là, Snif-snif était en train de piquer du nez dans une meule de foin. Il aperçut son ancien dealer au loin et se souvint de sa dette. Il prit peur et courut se réfugier chez Glou-glou, son poto de beuverie.

    Snif-snif arrive à la porte de Glou-glou, il frappe. Celui-ci tarde à lui ouvrir, il est dans la cave en train de vérifier la pression de son alambic.
    Snif-snif appelle.

    Glou-glou, speede, j'ai Jean-Loup le cahid aux fesses, j'frais pas de vieilles rides si tu te presses pas !</strong />

    Glou-glou se pointe, suant à grosses gouttes et s'essuyant dans un mouchoir à carreaux.

    "Voilà, voilà, qu'est-ce qu'il a à gueuler comme ça ? !"</strong />

    Snif-snif</em /> : "C'est Jean-Loup le cahid, mon ancien dealer, j'lui dois de l'argent, il m'avait refilé une dose de merde pour 500 balles, il veut me faire la peau, il est juste à cinq minutes, cache-moi !"</strong />

    Glou-glou</em /> : "Pas de panique, allons dans mon tonneau, on y sera plus en sécurité"</strong />

    Une fois dans le tonneau, ils se barricadent.
    Jean-Loup vient d'arriver, et il dit, tout en hululant :

    "Ouvrez-moi, sinon je brûle ton tonneau, qui sera votre dernière cellule. Glou-glou, si tu m'ouvres, je ne te ferais rien, je ne t'en veux pas à toi, et même je te refilerai une dose."</strong />

    Snif-snif à Glou-glou</em /> : Déconne pas, c'est de la caille qui va te refiler, c'est de la strychnine coupée à l'aspirine, c'est le crédit qu'il m'a fait, j'la connais sa dope, c'est de la merde !"</strong />

    Jean-Loup réitère son ultimatum :

    "Je vais compter jusqu'à trois. Un, deux, trois..."</strong />

    (Pendant ce temps, Glou-glou et Sif-snif, sont descendus dans le cellier, et s'évadent par une porte en fer qui donne sur l'extérieur.
    Ils se dirigent vers le shilom de Taf-taf."

    Jean-Loup brûle le tonneau, tout en découvrant la porte du cellier, il aperçoit les deux keums qui se sauvent vers le shilom en cuivre.

    Snif-snif et Glou-glou déboulent chez Taf-taf, un mec toujours cool et zen, ils lui expliquent ce qu'il leur arrive.
    Taf-taf, après avoir entendu les explications des deux complices, ferme la porte à double tour et baisse les rideaux en fer sur les fenêtres.

    Jean-Loup est arrivé, et tape à la porte en fer.
    Tout en aboyant :

    OUvre la porte, Taf-taf, je sais que Snif-snif et Glou-glou sont là, k'te ferais rien, j'ai de nouvelles graines à te filer si tu veux."</strong />

    Jean-Loup s'impatiente.

    "Allez Taf-taf, ouvre !"</strong />

    Jean-Loup</em /> : "Ah bon, c'est comme ça ! Je vais incendier ton beau p'ti shilom en cuivre !"</strong />

    Non loin de là, un maître-chien des stups digère son sandwich de midi, assis sur un banc au soleil. Pour être tranquille, il a passé son pied dans la sangle de la laisse de son chien.
    Ils somnolent tous les deux, quand le chien est doucement réveillé par les effluves de beuher en train de brûler.
    Le chien part comme un fou, la langue pendante, trîanant derrière lui son flic de maître accroché par le pied.
    Le flic finit par se dégager et son chien rattrape Jean-Loup en train de s'enfuir. Le dealer se fait embarquer.
    En le fouillant, les keufs trouvent une vingtaine de grammes d'héroïne coupée à de la strychnine, celle qui décime tous les junkies de la région.
    Fiers de leur prise, les flics présentent rapidement le dealer devant le juge.

    Une semaine plus tard, alors que nos trois mectons peinent à reconstruire leurs petites maisons, un nouveau voisin débarque avec une maison en kit, tout en verre, les cloisons à l'intérieur sont en papier (comme au Japon), et l'on y trouve plein de miroirs.
    En deux jours, sa maison est montée et il invite Snif-snif, Glou-glou et Taf-taf à la pendaison de crémaillère.
    Il se présente à eux sous le nom de Sylvain Louveteau, travaillant dans "l'import-export".

    Sur place c'est une teuf d'enfer, les minettes se déhanchent sur des rythmes techno-dance, ambiance "fils-à-papa-en-boite-chébran". D'énormes pots transparents en verre dévoilent des pilules de toutes les couleurs.
    A leur insu, Sylvain leur fait boire du dob, une drogue liquide, qu'il a discrètement versé dans leurs boissons.
    Nos trois mectons meurent doucement, paralysés par cette nouvelle drogue, pendant qu'autour d'eux, le jeunes gobent, sniffent et font la fête...

    Vive la jeunesse, à mort les jeunes... Comment on s'rat quand on s'rat vieux?

    Un p'tit dernier pour la route?

    C'était mieux avant!!!

    Qu'est-ce que j'en sais moi, faites vot'choix!


    2 commentaires
  • Maman qui rentre du boulot plus tot ! Ah l'occasion était trop belle ! Aussitot dit aussitot fait, je l'attrape par le string et direction le débats (non pas celui de chirac et des trois graces...) pas moyen d'y échapper, une semaine d'économies à dépenser...

    La besogne achevée, je suis pris d'une irresistible envie de pipi, et là tronant comme le maitre des lieus que je suis, je me laisse aller quand soudain le post surgit !!! C'est dingue l'inspiration non ???

    ...Une
    grosse gorgée d'air frais, et on plonge. J'ouvre la porte, et me voilà
    dans cette salle à l'air quelque peu nauséabonde, au sol un peu crado,
    avec quelques bouts de PQ rose brunis par la boue des chaussures qui
    ont été on sait trop où, qui flottent à moitié sur un centimètre ou
    deux d'eau, de boue, de pisse de mecs qui savent pas viser, et d'autres
    ingrédients réjouissants....


    Et
    j'oublie le savon qui tombe par terre quand on se secoue les mains.
    C'est vrai, on s'imagine pas, sur le moment, que par ce geste innocent
    on massacre des milliers de bactéries innocentes, leurs rêves, leur
    jeunesse, leurs espoirs, mais à mon avis si on en avait une idée on
    serait moins étonné que les survivantes s'attachent à nous pourrir la
    vie. Je piétine donc la marée agonisante des bactéries sans aucun
    remords, dans l'indifférence générale, je referme la porte derrière
    moi, et je constate avec dépit qu'elles sont pleines à craquer, ces
    chiottes, fait chier, c'est le cas de le dire, surtout que ça presse,
    merde.


    Voyons
    voir les possibilités qui s'offrent à moi. Les pissotières sont toutes
    prises d'assaut, et la relève immédiate semble assurée. Un coup d'oeil
    vers les chiottes ou on peut s'asseoir, rouge, rouge , rouge, blanc.
    Ah, génial ! Je vais pouvoir me lâcher, vider cette vessie qui me
    torture depuis un quart d'heure, tellement que je suis obligé de courir
    sur place de me remuer le cul jusqu'à choper des crampes au postérieur.
    Ma main s'approche de la poignée, j'appuie, je pousse... Ah !
    Excusez-moi monsieur. Tu pourrais penser à fermer à clef connard,
    j'avais déjà baissé ma braguette, maintenant ça presse deux fois plus
    je suis frustré par mes excréments qui réclament leur liberté.


    Putain,
    en plus il y a un autre mec qui fait la queue, enfin la queue dans le
    sens file d'attente, je parle. On se regarde vite fait, limite
    innocemment mais dans nos esprits c'est une joute qui se joue là, un
    combat où lui a la légitimité. Je m'incline, bon prince, il était là
    avant. Bon. Grouillez vous bande de crétins, merde.
    Ah, le vieux à droite est en train de secouer, pour faire tomber les
    dernières gouttes d'urine dans la cuvette, optimisant ainsi la
    proportion de celles qui seront arrivées à bon port plutôt que dans son
    slip, c'est cool, plus qu'un et ce sera mon tour. Mais l'autre mec est
    déjà sur le coup, j'ai peut être pas pris l'emplacement le plus
    stratégique, quoi que... Miracle ! Sans prévenir,
    sans ménagement aucun pour son calbut, un splendide spécimen de
    camionneur moustachu viens de ranger son sexe dans le garage, tant pis
    pour les dernières gouttes, et avec une agilité, une grâce, dirait-on,
    il se retourne, triomphant, la tête haute, la main un peu mouillée et
    les yeux déjà tournés vers l'horizon, et s'en va, repu, ou plutôt,
    vidé. Juste devant moi. Là, désolé mon gars, pas de pitié, la
    trajectoire et libre, je sens déjà venir en moi le sentiment de
    soulagement intense de celui que la bienséance et l'hygiène, concepts au mieux bourgeois, au pire fasciste (où l'inverse ?- les premiers sont plus nombreux, plus éduqués et plus tenaces) ont empêché un moment de satisfaire ses envies les plus primaires.



    Je me vide, c'est trop bon, putain. Bon, évidemment, ce serait mieux
    d'être seul, il y a des jours ou je me dis qu'il n'y a pas de plaisir
    sans partage, mais pisser, c'est l'exception qui confirme la règle. Je
    sais que je suis bizarre, mais là, je crois en l'omniscience de mon
    propos.


    Si
    vous en doutez, je vous invite cordialement à faire l'expérience :
    prenez des toilettes publiques avec quatre pissotières, vides au moment
    ou vous arrivez. Prenez place à l'une des pissotières du milieu, gauche
    ou droite, c'est totalement indifférent. Attendez que quelqu'un d'autre
    rentre (choisissez bien vos chiottes publiques et votre horaire si vous
    avez d'autres réjouissances de prévues dans la journée, sinon vous
    pouvez attendre longtemps). Bon, alors mettons que vous attendez pas
    trop longtemps, et que quelqu'un rentre. Il va systématiquement
    (et j'insiste avec une attention toute particulière sur le
    systématiquement) se placer sur la pissotière à l'extrême inverse de
    celle ou vous vous trouvez. Pissez est un plaisir dont on jouit seul,
    peut être un de ces moments d'intimité, que dis-je, de misanthropie,
    les plus profonds que l'on puisse connaître. Pour en jouir pleinement,
    pour profiter de ce moment au maximum, il faut pouvoir garder ses
    distances avec les autres. Quand on pisse à côté de quelqu'un, on sait
    jamais trop ou regarder, c'est vrai ça, où c'est qu'on pose les yeux,
    au moins quand on est assis et qu'on chie on peut lire les inscriptions
    marquées sur la porte, genre "pousse au lieu de regarder le plafond" ou
    "Mimi ta femme elle suce comme une reine", mais quand on pisse, on sait
    pas trop quoi regarder, si on regarde sa bite on passe pour un
    égocentrique, (voir, en fonction de son humeur, du temps depuis le
    réveil, des personnes croisées auparavant, et de tout un tas de trucs
    qu'on maîtrise plus ou moins, peut être un ego avec la trique, mais ça,
    pour le coup, c'est vraiment pas pratique pour pisser), si on regarde
    un peu de côté on voit la bite du voisin, (c'est toujours un peu
    tentant de jeter un petit coup d'œil, voir si la mienne est plus grosse
    mais on le fait rarement- peur de la comparaison ?), devant son nez il
    n'y a rien à voir à part des carreaux de carrelages un peu jaunis par
    le temps. Bon, j'assume mon égocentrisme et je regarde ma bite, au
    moins ça diminue les risques d'en foutre à côté. Mes yeux sont rivés
    sur mon gland qui me libère du superflu de flotte de bière et de coca,
    et ils restent là bien sagement, presque pudiques.


    Et
    voilà, c'est terminé ou presque, le jet diminue, les risques pour mon
    futal et pour le sol n'en sont qu'amplifiés. On pousse, un petit jet
    encore, c'est pas tout à fait fini. Encore quelques petits coups. Merde, il y en reste un peu, je le sens,
    mais il va falloir tirer délicatement -car c'est un geste extrêmement
    subtil- sur mon prépuce pour aller le récupérer. Coup d'œil vers la
    droite, vers la gauche, bon, de toute façon c'est la misère humaine,
    c'est notre lot à tous, enfin, vous on vous à peut être appris à pisser
    sans vous en foutre sur les mains, mais moi dans mon école ils ont du
    faire ça un jour où j'étais pas là, peut être que j'avais la grippe ce
    jour là, pourtant c'est une leçon essentielle ils auraient pu faire ça
    un jour ou on y était tous ou prévoir une séance de rattrapage ces
    connards. Bon, ben je tire délicatement sur mon prépuce, comme ça au
    moins mon calbut restera sec, et de toute façon, moi on m'a appris à me
    laver les mains.


    Et
    la braguette de se refermer, je me retourne à mon tour pour le plus
    grand soulagement de ceux qui attendent derrière moi. Direction lavabo,
    d'un pas ferme et déterminé, ma quête est terminée, je n'ai plus grand
    chose à faire ici. Deuxième queue, enfin, deuxième file d'attente,
    parce que les queues, c'est pas ce qui manque ici, et perso vu la place
    qu'une seule peut prendre dans mon cerveau, je préfère m'en arrêter là,
    mais bon, là, aucune urgence, au bout de quelques minutes on est
    presque dans son élément. Des robinets, des mecs qui se recoiffent, un
    gamin qui demande à son père ce que c'est les trucs à vendre dans la
    machine, normal quoi.


    Y
    a un truc marrant, c'est de voir les gens se regarder dans la glace,
    mais en même temps c'est gênant. Et oui, chiotte publique, lieu ou l'on
    renonce à son intimité par excellence, mais on s'en fout. Lieu ou l'on
    perçoit sans même le vouloir un bout plus ou moins gros d'intimité des
    autres, sans pour autant y attacher une quelconque importance. Il y a
    des fois ou on croise des gens et on a l'impression de s'être déjà vu
    quelque part, et on se demande où. Et autant on a le réflexe de penser
    supermarché, RER, stade de foot, autant on pense jamais aux chiottes
    publiques. Pourtant j'ai du en voir, des gens, aujourd'hui, des riches,
    des pauvres, des rustres, des romantiques, des destins que rien n'amène
    à se croiser et qui pourtant, un beau matin sur une aire d'autoroute,
    se croisent, l'air de rien, le regard baissé, presque gênés parfois
    d'être là. Chiottes publiques, parties intimes, paradoxe naturel, sociologie scatophile.
    Voilà, je suis vidé du superflu de mes pensées, jusqu'à dans quelques
    minutes ou quelques heures, jusqu'à ce que je digère de nouvelles
    inspirations et que je les régurgite d'une façon ou d'une autre. Comme quoi on peut pisser philosophiquement.
    Sacré Mr Peep va ! t'en fera jamais d'autres...








    <b_signatures_liens>

    </b_signatures_liens>






    13 commentaires
  •  

    Les collines des buttes chaumont sont les seins d'un hermaphrodite allongé en nord-sud, dont la chatte se trouve aux halles, et la bite vers montparnasse.

    A ces hauteurs, il suffit d'un souffle de vent d'est pour écouter de la gabber à 200BPM, et on lit les news sur les nuages à l'aide de lasers publicitaires installés sur les grands boulevards ; La conscience de cette entité peut être qualifiée de collective, mais elle-même n'apprécierait pas le terme. Anyway.
    Lecture/Ecriture/Exécution. Beigbeder est mort au début de la derniere phase, logique, informatique. La lettre piegée.
    Un texte toxique, écrit en automatique forward, par la creme, plutôt la mousse, de l'humanité, tentant qu'il est de faire des raccourcis : Paris au sommet du monde, le gatecrashing/OB en ultime activité humaine, allez.
    Le pire, c'est que ça n'implique aucune création, juste un emploi avisé d'outils informatiques domestiques : Chercher/Remplacer, Copier/Coller /Pomper/Namedropper.
    Seule l'insertion du fameux signe fatal, elle, résulte d'une alchimie, pour le coup, encore bien complexe, et brumeuse, et secrete, et chere, parce que syndicale.

    Le cerveau des hommes, pas aussi bien partagé que celui des chats, est tout de même l'unité atomique d'un système général, chaotique et passionnel, mais encore capable d'élaborer des défenses, de produire des armes d'attaques ou encore de concevoir des distractions. On n'est pas là pour se faire chier.

    Chaque octet compte, chaque scénario, même stupide, abscons, et toutes les possibilités, enfants d'un couple qui meurt à chaque seconde, s'accouplent à nouveau pour produire d'autres enfants, et la SOLUTION regle, nivelle, extermine le PROBLEME, ça s'appelle l'algorithmie génétique, et Dieu lui-même est admiratif.

    D'un café de la Villette on passe à un studio de la butte montmartre, enquille la rue des martyrs pour un virage sur l'aile au boulevard de clichy, pédalage énergique jusqu'à Stalingrad, en gros, et vol-plané tranquille le long du faubourg, jusqu'à république où on repère bien, à 50M d'altitude, les cibles aller et venir, et l'écrivain le plus riche de Paris, le type de qui plus rien n'est réellement exigé, le mec qui n'a rien à prouver, sortir du tabac du boulevard Voltaire. WiFI, Bluetooth, et de bons vieux cables éthernet, des ondes GSM, du bète téléphone RTC, partout, parfois seulement le réseau électrique, et la puissance du corpus ainsi produit peut s'éffrayer lui-même.
    L'intelligence totale, omnipotente, l'hystérie volontaire, positive et négative et positive et négative et positive et négative, productive, ultra-magnétique, sort de l'agit-prop et englobe, comprend, materne et nourrit les neurones des humains aussi sur que les chats savent tous comment tuer une souris.
    Et les rancoeurs associatives, le ressenti collégial, les cibles partagées comme des joints, les plans d'assassinat élaborés dans des roulages de pelle, on peut voir ça comme un de ces peeps-shows où des couples baisent au-dessus du public sur un filet tendu sur la ville, accroché à des poles périphériques, la partouze stellaire des écrivains de la vie, où le seul carton exigé à l'entrée est une gaule solide ou une chatte dégoulinante. L'arme fatale 2000. Qu'on en juge : 7 blessés dans le jury, Leo Sheer dans le coma, et Frédéric Beigbeder tombé face contre terre les bras en croix, un sourire dément sur sa trogne Hanna-Barberesque.

    Merci Hermaphrodite !!!


    votre commentaire
  • Tataaaaaaaa!!!!!!

    Il est ne le nouveau casse couille, encore un kes l'premier d'sa génération et ka pas finit d'nous les kasé !!!!!

    HELSINKI (Reuters) - Un nouveau virus destiné aux téléphones mobiles a commencé sa propagation via les messages multimédia MMS photo et audio, a indiqué mardi un cabinet de sécurité.

    Le virus baptisé Commwarrior.A, le premier du genre et la première menace sérieuse au niveau mondial, essaie de se dupliquer en envoyant des messages multimédia à la liste des contacts du mobile infecté.

    Il utilise la liaison sans fil Bluetooth pour se connecter à d'autres appareils et peut également décharger la batterie de l'appareil.

    Contrairement aux virus informatiques qui utilisent le réseau internet pour se répandre, les virus des téléphones mobiles étaient jusqu'ici limités par la technologie dans leur capacité de propagation.

    Cabir, le tout premier virus connu pour mobiles, s'était répandu en six mois d'existence dans seulement seize pays.

    Mais Commwarrior.A est capable de se répandre de diverses façons en utilisant notamment la technologie MMS implémentée dans les mobiles qui fonctionnent sous le système d'exploitation Series 60 de Symbian, a indiqué dans un communiqué l'éditeur d'anti-virus américain Symantec.

    Si l'utilisateur ne clique pas et ne télécharge pas le message multimédia reçu, le virus ne pourra pas se répandre.

    "Je ne pense que ce virus constituera un problème majeur, mais c'est le début d'une ère nouvelle", a déclaré Mikko Hypponen, directeur de la société finlandaise de recherche sur les anti-virus F-Secure.

    Selon Hypponen, les premiers indices laissent penser que le virus serait originaire de Russie.

    Depuis l'temps kon attendait ça !!! on va enfin pouvoir bouffer en paix dans les restos sans ke les poules nous les kasse avec leur mobiiile !!! Si maman la pa chopé j'men vais l'telecharger dse pas!!! Vive la teknologie !!!


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique