-
Ma politique de rentrée
« Mon Dieu je viens vers vous. Motivez notre groupe. L'échéance apparaît, cinq ans seront bien courts. Aidez-moi s'il vous plait à rajeunir mes troupes ; Je ne dissoudrai plus, et ferai des discours !
- La cause serait-elle désespérée un brin ? Rétorqua Dieu rieur, étranger à ces choses. Je ne vous savais pas ce bel esprit chagrin D'être ainsi titillé par quelqu'un de la rose.
- Le péril n'est pas là, la gauche est illusoire Ce n'est qu'une anti-chambre pour ceux attendant que, Les vieux de mon parti s'en soient en allés, ou voire, Aient été trucidés par plus ambitieux qu'eux. - Ainsi dans vos partis toute démocratie Est sujette à caution pour ne point ombrager, Quelque aura magnifique dont la ploutocratie Fait qu'en y dérogeant vous fait trop enrager ?
- Vous n'avez pas compris !.... Je subis un vrai schisme. Personne ne conteste, mais tous sont contre moi. Et patients prosélytes ils font le catéchisme, A des trublions altruistes ne pensant plus qu'à moi !
- Bien curieuse façon d'ainsi parler des hommes, Qui sont dans leurs états amenés à juger. A de si hauts niveaux, pour de si grosses sommes, Que la tête leur tourne, ne voulant abroger.
- Mon Dieu, faites moi Roi, à vie, pour qu'ils ne puissent, Jamais trop s'immiscer et pour embrocation, Confiez moi à Thétis loin de ces lieux qui bruissent De mon inculpation pour prévarication.
- Cher Monsieur, le destin attaché a vos pas, Est une ombre tenace et pour son non mérite, Il faudra du soleil en faisant contre-pas, Faire deuil quelque temps ! ... Après vous serez quitte !
- Je ne peux me résoudre à quitter ma fonction ! Tant d'efforts seraient vains et de n'être plus maître Me livrerait sans fard à la juridiction. Je ne peux m'y résoudre, et punirai les traîtres.
- Il vous faut, maniant carotte et bâton, Pour bien circonvenir promettre à outrance Aux jeunes, aux moins vieux, et même aux rogatons, Et s'ils étaient rétifs parler d'intolérance.
- Acta est fabula, constata cet énarque. J'ai déjà tout promis, tous me disent rembourse ! J'irai à la Santé pour relire Plutarque. Oubliant ces ingrats soucieux que de ma bourse J'ai ouï , lui dit Dieu, que plein de contrition, On pouvait vous toucher, l'autre sans bouger l'une Mettez donc à profit votre constitution !... Jouissez bien là-bas, où c'est « Objectif Lune ».
-
Commentaires
Marre !
J'en ai marre de ton harcelement dans la messagerie interne, marre de tes propositions a la con et enfin marre de ton vocabulaire de petit toutou. Laisse-moi tranquille une bonne fois pour toute !!!et l'aut conne
qui vient faire d'la pub sur le blog du zizi !!! l'aire de rien , l'aire de "chuis une fille bien reelle ki mont son cul et suce quand on la couche...." ton site il est pourri parceque tout payant !!!! NA !!! allez , chuis bon prince j'laisse ta racolle pour les blaireaux (tu m'file 20% dis ?)bravo zizi!
c'est clair dans ta tête de piaf ! j'aime j'aime j'aime ton commentaire chez mac leon!6maitre capelloMercredi 5 Juillet 2006 à 16:097patrick topaloffDimanche 2 Mars 2008 à 15:418ziziSamedi 31 Mai 2008 à 13:06hey patrick !
cimer pour le createur mais jean dmande pas temps! hihi, toi t es vraiment une larve!hihihihiEt la suite ?
Pourquoi il n'y a plus rien après 2005 ? Le niveau n'est pas très élevé dans l'ensemble, c'est le moins qu'on puisse dire, mais ça change et l'effort consenti, l'harmonie d'ensemble quoi, me fait penser que c'est presque de l'Art, nan ? Du "Orange mécanique" ou plutôt du Kubrick quoi ! Heu, là je vais trop loin...
Ajouter un commentaire
et ce que vous ecrivez et tellement emouvant que je voterai pour vous si cela se presente. Cordialement, Marc.